Jondhy Wolace
OCCUPATION : Propriétaire du bar décombré
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AVATAR : Joan Alter - Fate Series
Sujet: Here survivor, have some well deserved wine ─ Jondhy. Mer 27 Jan - 19:50 | |
| expérience professionnelledébutant ★★★★☆ expert confiance en noé.exesuspicieux ★☆☆☆☆ confiant participation aux expéditionsfaible ★★☆☆☆ forte vision pour l'avenirpessimiste ★★★☆☆ optimiste | Jondhy Wolace AgeUn petit vingt-deux ans pour la demoiselleOccupationPropriétaire du bar décombréQuartierAltaïrOrientation sexuelleBisexuellePays et ville d'origineCapitale de la France, ParisParticularités physiquesSes yeux brillent couleur ambre. Référence avatarJoan Alter - Fate Series |
be the one you need and not the one they want Le sarcasme est ton meilleur ami. Ton visage revêt un air dur par moment, désintéressé et nonchalant pour le reste du temps. Tu es ni moins ni plus déprimée par la vie que tu ne l'étais dans la triste capitale de ton dit beau pays d'origine. Enfin, tout ça c'est quand il n'y a personne au bar, quand tu es seul chez toi, ou que t'aventures à l'extérieur d'Altaïr. C'est ton toi intérieur, ton caractère propre. Mais les habitants d'Altaïr t'ont adoucie. Quand ils rentrent tu aimes les accueillir en souriant, tu es à l'écoute quand ils te parlent, tu aimes les aider, rire avec eux, leur offrir le verre aller soyons fous ! Dans ton bar l'ambiance est conviviale, chaque habitant est de la famille, ils savent qu'ils peuvent venir en paix, que tu n'es ni juge, ni avocat. En bref, ce serait mentir finalement, d'oser dire que tu es la même personne que cette âme vide qui travaillait dans un bar paumé de Paris. Seulement, ce serait aussi blasphème de dire que tu n'es plus la même, que ton passé est effacé. Ca t'a laissé des traces, Paris. Indélébiles. Et ceux de l'extérieur le voient. Ils le voient, car en dehors de ton chez toi, une fois passée la frontière de la famille, tu ne fais pas confiance. Tu n'es pas là ni pour écouter ni pour être gentille, et le premier qui viendra te chercher de trop s'en rappellera longtemps. L'honnêteté, la confiance, la protection, ça se gagne, ça se mérite. Les seuls à qui tu es prête à accorder tout cela sans trop broncher, c'est la famille. Le reste, tu connais pas, tu vas te faire voir. Seuls quelques élus dérogent à la règle. Mais comme on dit, il faut bien des exceptions pour que les règles existent, c'est pas drôle sinon.
En bref, toi dans ton bar et toi en dehors d'Altaïr, c'est le jour et la nuit. Mais ça te vas très bien comme ça, t'es jamais née avec une compassion à faire fondre le chocolat non plus, faut pas déconner.
| Hm.. C'est abandonné, et quelque part, j'ai un peu aidé à ce ça tienne debout cette ruine quand même. Je pourrais en faire quelque chose de sympa.. Et c'est aussi bêtement que le bar du décombré se trouva un propriétaire. Non sérieux, c'est même pas une blague. Ca a pas déçu en plus. Les gens au fond, ne demandaient que ça, un petit remontant, une échappatoire, une ambiance conviviale, un chez-eux. Tu as eue à cœur de rendre le lieu chaleureux pour les habitants, ou devrais-je dire, ta famille, maintenant.
Noé.exe vous savez pas exactement qui c'est, vous savez pas exactement pourquoi tout ça, et c'est ce qui fait que tu te méfies. T'aimes comprendre, analyser, et eux ne laissent rien entrevoir, si ce n'est cette image des bons samaritains sauveurs qui ne vous veulent que du bien. T'es pas dupe. Rien n'est jamais parfait. Et qui cherche à ne montrer qu'excellence a toujours un truc à cacher. De surcroit, c'est mort, ils t'auront jamais à la bonne.
Les expéditions c'est pas que tu veux pas y participer, hein, mais que t'as surtout la flemme, finalement. C'est égoïste, et tu t'en moques. Oui c'est pour le bien de tous blabla blabla, tant mieux. Mais l'ambiance est bien meilleur dans ton bar. Tout simplement. Après t'es pas la plus sans cœur du monde non plus, tu fais un effort des fois, et t'y vas, tu donnes un peu de toi. Faut savoir partager, comme on dit.
Tu aimes à penser que tu es plus optimiste que pessimiste pour ce qui est de demain, des jours d'après, de la vie à l'arche, en somme. Même si souvent c'est à se demander. Tu pars tout simplement du principe que les humains, que ce soit sur Terre ou ici, c'est toujours les mêmes. Avec des défauts, et des qualités. Et que les défauts sont souvent ceux qui ressortent le plus, car le mauvais en soi est bien plus facile à faire sortir que le bon. Donc t'es pas désespérée, mais tu te fais pas d'idées non plus. En même temps comment perdre espoir totalement, quand y a toi dans l'équation ? Eh, tu remontes pas mal le niveau quand même, non mais.
Tu es la reine des comparaisons farfelues et des expressions détournées. T'aimes bien, ça te fait rire, il n'y a pas plus de raisons que ça. Et généralement, ça fait rire la famille en plus, alors que demander de mieux.
Les derniers de la famille dans ton bar ont la chance d'avoir cette vision mignonne de toi qui boit un chocolat chaud. Généralement ça n'arrive pas avant trois heure du matin, c'est une petite anecdote qui encore une fois, fais doucement rire la famille. Une patronne de bar qui boit du chocolat chaud en service, c'est pas quelque chose qu'on aurait vu arriver sur Terre c'est sûr. |
as if nothing never really changed in nightcity Le noir. Le blanc. Jamais les couleurs. Et surtout le noir. Et le gris, aussi. Beaucoup de gris foncé. Voici ta vie. Tu vois des camarades de ton âge rigoler, courir le sourire au lèvre, comme si la vie était belle, comme si, c'était normal. Comme si, c'était possible. Au début, tu étais juste blasée. Triste. Comment exprimer la douleur, comment communiquer le manque. Ils ne semblent même pas savoir, que tu n'as pas de parents. Tu es sensée en avoir, pourtant, mais ce ne sont pas tes parents. Ce sont des gens qui te réveille en frappant sur ta porte. Ce sont des gens qui te font à manger car ils le doivent. Ce sont des gens qui te laissent te laver, te brosser les dents et les cheveux car sinon, à l'école ils risquent de vouloir leurs parler. Ce sont des gens que ça arrange que tu ais des bonnes notes. Ce sont des gens. Juste des gens. Pas des parents. Et puis la tristesse est passée, le début se termina. La suite, elle était vide. Tu ne ressentais rien, et de toute manière, tu ne savais que ressentir. A ton âge, que fallait-il ressentir ? Apparemment, on devait être content avec des amis, et pleurer quand on a mal. Sauf que tu n'as pas d'amis. Tu ne parles que très peu, car tu ne sais pas de quoi parler. Et tes camarades ne te parlent pas, car ils ne savent pas quoi dire à quelqu'un qui ne fait qu'étudier de tout son temps. La douleur est là, quand tu tombes, quand tu te brûle la langue avec de la nourriture trop chaude. Mais tu ne sais pas comment l'exprimer. Tu fais la grimace, puis tu continues à vivre. Même si tu n'avais pas l'impression de vivre. Peut-être que chacun a une vie bien différente. Peut-être que celle-là était la tienne. Peut-être que c'est la vie que tu mérites. A force d'étudier, tu ne connais pas de notes en-dessous de dix-neuf. Les enfants te regardent avec jalousie ou avec peur au choix. Voire un mélange des deux parfois.
Il n'y a pas de réel évènement marquant dans ta vie, au final. Les jours restent les mêmes, le gris, le noir, et le rare, très rare blanc, restent aussi les mêmes. Rien ne pouvait prédire ce changement en toi. C'était simplement la goutte de trop que personne n'a sentie couler, mais dont tout le monde aura vu les conséquences. La colère. Tu leurs en voulaient. A tes parents biologiques. A ces gens qui osent se faire passer pour des parents. A ces gosses qui n'ont jamais cherché à t'approcher. A ces profs qui n'ont jamais vus de problèmes. Dix ans. Tu avais dix ans seulement, et pourtant la colère, la haine, faisait déjà parti de toi. Beaucoup trop, parti de toi. Mais réfléchir à une vengeance ne servait à rien. La vengeance elle-même ne servait à rien. C'est à cette résolution que tu arrivas. Ils ne méritaient même pas ton attention, tes pensées, ton temps. Ils ne méritent rien. Personne, ne mérite, rien, du tout. Et surtout, pas toi.
Alors vient l'ère du cynisme, du sarcasme, des airs supérieurs et de l'indifférence. Dix ans seulement. Et tu pensais comme quelqu'un de tellement plus mature. Le changement n'était pas invisible, chez toi, il était même plus que flagrant. Simplement personne ne chercha à comprendre. Ca ne t'étonnait pas, de toute façon. Tu t'en fichais maintenant, de toute manière. Tu étais bien mieux seule que mal entourée maintenant, dans tous les cas. Bizarrement, le monde était en couleur, maintenant. Était-ce car tu avais compris qu'il n'y avait qu'à décider que tu valais le coup, pour mériter de vivre ?
Et puis, plus rien. Le vide. Ou plutôt, l'enlèvement. Puis, l'éveil, presque aussitôt. Puis, tu avais du mal à te concentrer, à comprendre, sûrement à cause de ce réveil si brutal. Ce dont tu te rappelles, c'est aider, comme tu pouvais, à reconstruire. Que tu n'aimais pas être trop entourée, même si beaucoup de camarades essayaient de t'approcher, de t'aider, de te prendre sous leurs ailes. Tu te rappelles avoir pensé n'avoir jamais connu ça, l'attention, l'inquiétude, la douceur, envers toi. Tu n'en avais pas peur, mais tu préférais la rejeter. En fait si, tu en avais peur, au fond. Tu ne connaissais pas. Tu avais l'habitude du vide, du rien. Tu ne voulais pas changer. Tu ne voulais pas risquer d'avoir mal. Alors tu restas seule à la cantine, seule dans ta tête, seule. Mais beaucoup te sourirent, beaucoup avaient été gentils, plusieurs t'avais aidé sans que tu ne demandes rien ni n'approuve, pendant les reconstructions. Surtout eux, ta famille, les habitants d'Altaïr. De vrais flemmards, mais tu t'en fichais. Avec les années, ils ont réussi à t'adoucir. Et alors que tu ne te mêlait pas non plus personnellement avec eux, tu les connaissais tous un peu, mais pas de trop, tu te retrouvas bête, devant un miroir cassé. Tu souriais. Oui, tu souriais. Toi sourire, c'était déjà un miracle. Mais en plus sans raison, bêtement, comme ça ? Et pourtant, c'était vrai. Les couleurs étaient vives, et le sourire était là.
Tu as passé beaucoup de temps, à t'habituer à la solitude et au vide. Puis, tu as aussi passée beaucoup de temps, à rejeter la chaleur, à préserver ta solitude. Tu n'as pas changé, ton sarcasme est toujours ton plus bel outil de langage, et ton attitude nonchalante n'est que trop connue. Mais tu as décidé de rendre à ta famille ce qu'elle avait réussie à te donner: de la chaleur. C'est comme ça, qu'en voyant ce lieu que tu avais aidé à ne pas s'effondrer avec les habitants, bien caché par les décombres et qui sentait la promesse d'une nouvelle vie, que tu décidas qu'il serait tient. Qu'il serait un bar, et qu'il serait un refuge pour qui voudrait déballer toutes ses pensées sans jugement, pour qui chercherait seulement un peu d'alcool, ou encore pour qui chercherait à rire la bouche grande ouverte en racontant des blagues en veux tu en voilà. Ce serait comme ta deuxième maison, bien mieux que la première d'ailleurs. Ce serait leurs repères à eux, les habitants. Vous serez tous une famille, et tu tenais à en être un membre important, sur qui l'on puisse compter.
TL;DR: - Abandonnée par ses parents - Grandi dans une famille d'accueil qui ne l'aime que pour les aides financières - Petite génie à l'école, son échappatoire - En dépression, mais les gens la croient juste timide et peureuse - Passe par une phase " j'en veux à la Terre entière " - S'était calmée quelques mois avant l'enlèvement, devenant juste remplie de froideur, de sarcasme et de je-m'en-foutisme - Lors de l'enlèvement, elle a dix ans - Est restée solitaire pendant longtemps après l'éveil, malgré son jeune âge - A aidé à reconstruire comme elle pouvait - S'est adoucie avec les années grâce à ceux qui lui ont tendu la main de multiples fois pendant les années après le réveil ( spoiler: c'était surtout des gens d'Altaïr à la grande surprise générale ) - A décidé de faire d'une des ruines qu'elle avait aidé à reconstruire un bar dont elle serait la propriétaire - Vie maintenant sa vie en tant que patronne du bar décombré
HOP ! Vous pouvez m'appeler Lum ( pour Lumecyow ) si jamais on se parle sur discord / en mp ou ailleurs, j'ai la vingtaine, je suis une madame donc genrez-moi au féminin, eeeet je suis arrivée grâce aux partenariats. Voilà voilà, le forum est tout beau, le contexte m'a plut direct, hâte de rp avec vous | |
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